30 juin 2008
Le repos du guerrier
20h15, le téléphone sonne. Nue, les cheveux collés par la sueur, le corps encore moite de nos récents harassants ébats, je me lève et décroche. Un collègue de mon Rodolphe demande : - Bonsoir Pélisse, il est là Rodolphe ? - Euh... oui. - Je peux lui parler...